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29 novembre 2013 5 29 /11 /novembre /2013 11:29

Et donc ce week end, je vais à Montreuil, au salon du livre jeunesse. 

 

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 14:12

Selon wikipedia, au Canada (décidément), un deux dollars, aussi appelé deux piastres,
deux piastres rond ou polar, est une pièce de monnaie représentant deux dollars canadiens.

 

 

 

 

Polar ou polar (« polaire » en anglais) peut aussi faire référence à un genre de roman policier.

 


 

 

 

C'est bien sûr ce polar qui nous intéresse aujourd'hui, puisque Lartigues & Prévert est finaliste du prix Polar Sncf 2013.

 

 

Une présentation des cinq finalistes est visible dans cette vidéo,
(une minute pour cinq livres, pas de perte de temps),

 

 

le vote est ouvert,
plus de détails bientôt !

 

 

 

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4 novembre 2013 1 04 /11 /novembre /2013 09:23

 

(voilà, avec ça, je pense que vous avez absolument tout ce qu'il faut pour bien comprendre cette expo)

 

Bon ok, je mets des photos alors.

 

 

...merci encore à Floriane et Fred de Quai des Bulles,
à Julia et Glen aussi, dont l'expertise m'a sacrément aidé à monter tout ça,
aux bénévoles des Amis du Québec qui ont gardé l'expo et...
merci à ceux qui sont passés !

 

***

 

un de ces jours, je mettrai ici les images du petit projet fait exprès
par les amis (mais là c'est déjà beaucoup de mercis pour aujourd'hui!)

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22 octobre 2013 2 22 /10 /octobre /2013 17:05

C'est le nom d'un petit projet parallèle monté spécialement
pour cette fameuse expo malouine (eh non, on ne dit pas saint-malotienne).

 

 

Une journée d'été censée se dérouler avant l'histoire racontée dans Lartigues & Prévert...
après que Nicole ait quitté Prévert, que Lartigues l'ait remplacée à l'épicerie.

 

 

Prévert a l'idée d'organiser un pique-nique au bord de l'eau pour fêter les trois ans de son fils, Lionel.
Bien sûr, il a aussi en tête d'essayer de faire revenir sa femme.

 

 

Il a acheté un Polaroid pour immortaliser cette journée. Dix photos, donc.
J'ai demandé à six amis, proches du projet, de les dessiner avec moi.

 

 

J'avais défini une garde-robe pour chacun des personnages (on est en 1974, en gros)...

 

 

...à partir de quoi Glen, Julia, Thomas, Vincent, Sylvain et Yann
ont réalisé chacun une image en trois couleurs, pour tenter d'évoquer
la lumière particulière des vieux clichés instantanés. 

 

 

*******

 

Par ailleurs, dans la logique de cet accrochage où j'ai essayé d'intégrer
de vrais objets de contexte aux dessins issus du livre, j'ai demandé à un septième ami, Mathieu,
de dessiner l'image du calendrier du club de foot où se sont cotoyés Lartigues & Prévert en pleine adolescence. 

 

 

*******

C'est beau, hein? J'ai de la chance.
Vous pourrez découvrir tout ça en entier à la Maison du Québec jusqu'à mardi prochain.

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22 octobre 2013 2 22 /10 /octobre /2013 11:47

 

***

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28 mars 2013 4 28 /03 /mars /2013 12:00

Ce n'est pas sans une certaine émotion que

enfin, que je vous annonce que

enfin voilà. Partout. 

 

*************

 

D'ailleurs, aujourd'hui-même a lieu une soirée de lancement, à la librairie le Pied de biche à Paris,
mais si, souvenez-vous, ce visuel délicieux :

 

 

bon et bien voilà, venez, ou sinon venez demain,
chez Philippe le Libraire, (vous y verrez aussi Matthieu Sapin!)
ou même à Strasbourg à la Librairie Kléber, ou, sinon euh
enfin reportez-vous aux flyers de mars et d'avril,
prenez-vous en main, je vais tout le temps tout répeter non plus.

 

(ah et, des gens en disent du bien déjà)

 

*****

 

à bientôt (pour parler d'autre chose, enfin !)

 

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29 janvier 2013 2 29 /01 /janvier /2013 08:19

***

 

 

Lartigues a plus ou moins l'âge de Prévert. (Prévert?)

Ils se connaissent de l'enfance, comme on se connaît quand on a grandi
au même endroit - et qu'on a fait du foot ensemble.

 

 

Lartigues, Victor de son prénom, était le fils de l'entraîneur.
Redouté et inflexible au bord du terrain comme ailleurs, le père Lartigues meurt
un jour de façon absurde, laissant seul son grand fils qui part à la dérive.

 

 

Quand ses pas l'amènent chez Prévert, un accord est vite trouvé - l'un est à la rue, sans boulot,
boit plus que de raison, a tout pour continuer à s'enfoncer; l'autre est tout frais séparé,
seul face à son double business (épicerie et contrebande), prêt à tout pour remonter la pente
et récupérer sa femme.

 

 

Leur entente dure ainsi, ils deviennent "les deux types de l'épicerie qui habitent à l'étage",
jusqu'au jour où le coffre de la caisse qu'on leur confie ne contient pas
des clopes comme d'habitude, mais un homme agonisant.


A l'inititive de Lartigues, ils décident d'aller se planquer à la campagne,
dans la maison de sa grand-mère; Lui rencontre une femme dans le train
- c'est l'occasion de tout reprendre à zéro ici.

 

 

 

Mais Prévert ne voit pas les choses comme ça :
pour lui, il faut régler l'affaire et rentrer.

 

***

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27 janvier 2013 7 27 /01 /janvier /2013 12:29

***

 

 

(avant d'aller plus loin dans les personnages de Lartigues & Prévert)

Ceux qui passent régulièrement ici ont bien vu
que ce n'était pas vraiment un livre en bichromie.
- différentes alliances sont utilisées au fil du livre,
il y a même des pages en trichromie, alors quoi?
c'est juste pour faire beau ou bien?

 

*

Non : noir & bleu : c'est le récit "direct",
on suit Lartigues et Prévert, rien qu'eux, et l'action de manière classique.

**

Noir et rouge : six scènes parralèlles à l'action, de une à trois pages,
axées chacune sur un des autres personnages :
ceux qui ne sont pas partis se planquer à la campagne.

 

 

 

***

Noir et vert : cinq pages disséminées au fil du livre
qui apportent des élements supplémentaires antérieurs au récit,
sur des points précis : l'épicerie, le père de Lartigues... 

 

 

 

****

...et les tricolores : une centrale qui sert d'entracte
(et d'autres à la fin mais ça vous verrez bien)

 

 

Tout ça, bien sûr, pour tenter de maîtriser le rythme d'une histoire très dense
- et aider à la classification progressive des infos dans le cerveau du lecteur.

(...et en prime, je me suis amusé avec les couleurs pantone - parce que oui,
Lartigues & Prévert est imprimé en quatre pantone, on ne rigole pas, à la Pastèque.)

 

xxxx

 

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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 13:21

Bon, il est temps d'en dire un peu plus sur cette histoire.
Je vais prendre un par un les personnages - puisque c'est comme ça,
finalement, que l'histoire s'organise.

***

 

Prévert tient une épicerie. Il la tient de son père :
quand celui-ci s'est arrêté, après l'avoir aidé des années,
Prévert l'a reprise en dépit du bon sens...Car les supermarchés fleurissent,
ah oui, on est entre 1974 et 1980.

 

 

Au début, il n'est pas seul à la reprendre : Prévert est marié à Nicole, ils ont même un fils de 6 ou 7 ans, Lionel.

 

 

Comme c'est un peu dur de joindre les deux bouts et d'assurer,
Prévert accepte ce que son père a toujours refusé :
faire du noir, ou plus exactement ici, de la contrebande.

Il s'associe en cachette avec Régis et Jules, et accepte de stocker d'abord,
puis d'aller chercher des clopes en belgique. 

 

 

 

Ca ne plaît pas à Nicole, qui en a marre de la survie, de bosser dans ce magasin,
et déteste les combines : elle le quitte en emportant Lionel.
Seul, Prévert galère avec son magasin, d'autant plus qu'il doit fermer boutique
chaque fois qu'il doit aller chercher de la marchandise, licite ou non. 

Bref, un soir débarque à l'épicerie une vieille connaissance : ivre et complètement défait, c'est Lartigues.

 

(à suivre alors)

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19 janvier 2013 6 19 /01 /janvier /2013 17:39

****

le samedi, c'est sérigraphie (youpi)

 

***

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